On se laisse parfois aller à goûter des œuvres qu’on disqualifie dans le même temps, les disant banales, mauvaises, kitsch ou vulgaires. Elles génèrent un plaisir certain teinté de culpabilité. Cette conférence explorera les rapports ambigus de l’art des années 1980 et 1990 avec les plaisirs coupables associés au divertissement médiatique, à l’humour vernaculaire ou aux jeunes (sub)cultures.
Samedi 5 juin, 14h00
Château de Fontainebleau, Chapiteau de la Cour Ovale