Après la triple catastrophe de mars 2011, un nombre incalculable de films ont diffusé en boucle les images des champs de débris, aboutissant davantage à accélérer l’oubli qu’à favoriser la réflexion sur cet événement inédit. En marge de cela, quelques artistes activistes ont utilisé leurs pratiques pour s’engager, interroger l’invisible, créer des communautés et solidarités nouvelles.