C’est sous un angle transaréal (O. Ette) que sera analysé le japonisme de Monet, notamment par l’analyse de Japonnerie (1876, 3e exposition impressionniste en 1877) : ce portrait rieur de la femme de l’artiste Camille Doncieux, en « Parisienne costumée en japonaise » la représente dans un intérieur au mur décoré d’éventails uchiwas, dont l’agencement évoque un musée imaginaire associant les thèmes de l’estampe japonaise à ceux de la peinture de Monet.
Vendredi 4 juin, 14h30
Château de Fontainebleau - Quartier Henri IV - Grande Salle