Nous aborderons les différentes acceptions et modalités du « plaisir musical » au XVIIe siècle, entre perception et rationalisation, et la relation de ces modalités avec le plaisir visuel. Nous verrons comment et en mobilisant quels enjeux le XVIIe siècle met au premier plan l’expérience – et donc la perception, et donc le plaisir – comme critère théorique et esthétique, au-delà des canons formels hérités du passé.