L’objectif de cette table ronde ? S’affranchir des frontières pour redessiner les contours de notre discipline. Travailler sur l’espace septentrional nécessite d’interroger ses limites ; les contours de la Belgique actuelle n’étant fixés qu’en 1919. Cinq historiens de l’art, archéologue et muséologue de toutes périodes interrogeront ainsi la possibilité d’écrire une histoire de l’art belge au prisme de ses frontières instables. Ils démontreront combien cet exemple invite à reconsidérer la discipline, dans une perspective historiographique et méthodologique.
Carte blanche au département d’histoire de l’art et d’archéologie de l’université de Lille