Le manuscrit de Bruxelles, enluminé par le Maître de Wavrin, aiguillonne le spectateur vers une lecture grivoise des aventures du héros éponyme Gérard et de son amie Euryant. Les jeux de mots qu’il inscrit dans les images pimentent des histoires d’amour qui sont, dans le cycle iconographique, loin d’être platoniques.