Les extases physiques comme mystiques n’ont eu de cesse de retenir l’attention des artistes depuis la Renaissance. Comment l’art parvient-il à dévoiler ou faire ressentir cet état intime souvent ambigu ? Quels sens accorder à cet abandon éprouvé dans l’acte de création même ? Plaisir paradoxal ?
Dimanche 6 juin, 15h00
École des Mines - bâtiment I salle R12