Culture et résistance malgré l’Estado Novo

Culture et résistance malgré l’Estado Novo

    Si la dictature de « L’État nouveau » (1933 – 1974) a soutenu dans un premier moment le développement du pays tout en valorisant une certaine image du Portugal qui a permis l’affirmation du Modernisme dans les arts plastiques et l’architecture, après 1945 le régime commence à perdre sa capacité d’intervention anti-démocratique. En 1956 la création de la Fondation Calouste Gulbenkian déclenche les dynamiques vers l’internationalisation de la création artistique, et annonce à partir de 1969 avec l’inauguration de son siège à Lisbonne, la liberté qui sera finalement acquise le 25 avril 1974.

    Intervenants : Ana Tostões (Universidade de Lisboa), Miguel Magalhães (Fondation Gulbenkian), Raquel Henriques da Silva (Universidade Nova de Lisboa)