Dans les années 70, Chantal Akerman s’installe à New York. Sous l’influence formelle de Michael Snow, elle aborde son rapport à sa mère, qui restera l’une des problématiques les plus importantes de son œuvre. Tandis que des travellings ou de longs plans fixes décrivent la ville, la cinéaste lit en voix off les lettres remplies d’inquiétudes que sa mère lui envoie de Belgique. « Et les lettres reçues de ce New York perdu ressemblent aux manuscrits de la mer Morte d’une future Atlantide. » (Chantal Akerman)
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Mais ailleurs c’est toujours mieux
La cinéaste expérimentale Vivian Ostrovsky signe un court hommage à son amie cinéaste Chantal Akerman, et mêle leurs films respectifs. Quarante années d’amitié condensées en quatre minutes.
Vivian Ostrovsky
États-Unis / 2016 / Expérimental / 4’ / VOSTF
En partenariat avec les éditions L’Arachnéen, qui préparent pour 2024 la publication des écrits de Chantal Akerman (Chantal Akerman, Œuvre écrite et parlée, dir. par Cyril Béghin)
En partenariat avec la Cinémathèque royale de Belgique – CINEMATEK et la Fondation Chantal Akerman / En collaboration avec le Centre du film sur l’art de Bruxelles