À la faveur de la préparation des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, la connaissance des architectures du sport en France a vécu une importante dynamique. Une campagne d’étude nationale invite à interroger la manière d’appréhender la dimension patrimoniale de ces constructions qui alternent entre équipements sportifs du quotidien et infrastructures monumentales à vocation internationale. Au-delà de quelques reconnaissances patrimoniales récentes (stade Chaban-Delmas, Bordeaux) et d’échecs (piscine Molitor), comment conjuguer restauration, réhabilitation et usage de ces édifices ?
Carte blanche à l’Association de l’histoire de l’architecture