Les images médiévales du plaisir compensent-elles l’idéologie grincheuse du christianisme ? Les clercs eux-mêmes, voués aux plaisirs de l’esprit, ont-ils ignoré les plaisirs du corps ? Libèrent-elles des épreuves du temps, de la faim, de la guerre, de la peste qui menacent ? Disent-elles l’empressement à jouir avant que ne résonnent les trompettes du Jugement ?