La Révolution portugaise de 1974-1975, dite des « oeillets », a suscité, au cinéma, des initiatives originales tout comme des espoirs déçus. Du déploiement de coopératives de création à la prise de pouvoir des cinéastes
sur les institutions culturelles, en passant par la disparition de la figure du producteur et l’effacement relatif du cinéma de fiction, José Manuel Costa, directeur de la Cinémathèque portugaise, et Mickaël Robert-Gonçalves, historien du cinéma portugais, reviennent sur ce moment politique et social unique ayant laissé des images d’une foudroyante beauté.
Château de Fontainebleau - Chapelle de la Trinité