La peinture sucrée, ou les plaisirs illégitimes de l’art pompier

La peinture sucrée

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    L’ambivalence suscitée par la démocratisation du sucre au cours du XIXe siècle se manifeste dans la critique d’art du Second Empire, lorsque la peinture pompier est comparée à de la confiserie et dans la disqualification du goût « sucré » du public.

    Intervenants : Frédérique Desbuissons (Université de Reims Champagne-Ardenne)

    Crédit photo : Détail du frontispice du Livre de pâtisserie de Jules Gouffé, Paris, Hachette, 1873 (c) libre de droits

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