L’ambivalence suscitée par la démocratisation du sucre au cours du XIXe siècle se manifeste dans la critique d’art du Second Empire, lorsque la peinture pompier est comparée à de la confiserie et dans la disqualification du goût « sucré » du public.
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L’ambivalence suscitée par la démocratisation du sucre au cours du XIXe siècle se manifeste dans la critique d’art du Second Empire, lorsque la peinture pompier est comparée à de la confiserie et dans la disqualification du goût « sucré » du public.
Crédit photo : Détail du frontispice du Livre de pâtisserie de Jules Gouffé, Paris, Hachette, 1873 (c) libre de droits