Tourné en Super 8, On devait ne jamais guérir (2020, 8’30) est inspiré d’une estampe de Tsukioka Yoshitoshi (1839-1892), l’un des derniers grands maîtres de l’estampe japonaise ukiyo-e, héritée de l’époque Edo. Le Murmure de la Pivoine (2016, 65’) suit quant à lui Akira Naka, praticien de l’art du kinbaku, le bondage japonais.
Vendredi 4 juin, 16h45
Cinéma Ermitage - Salle 4