La peinture française au Japon : histoire des collections privées et de la création des musées d’art occidental

La peinture française au Japon : histoire des collections privées et de la création des musées d’art occidental

    sur place dans la limites des places disponibles et en ligne sur inscription

    La diffusion de la peinture française moderne au Japon s’est faite par le biais de deux grandes collections constituées au début du XXe siècle : celle d’Ōhara Magosaburō qui fonde en 1930 le musée d’art Ōhara et celle de Matsukata Kōjirō qui formera le cœur du musée national d’art occidental de Tokyo ouvert en 1959. Cette table ronde présentera ces deux collections et réfléchira au sens du goût des Japonais pour des courants de la peinture française comme l’école de Barbizon, l’impressionnisme, le postimpressionnisme ou les Nabis, présents dans de nombreux musées : notamment le musée départemental de Yamanashi, l’Artizon Museum (fondation Bridgestone), le musée Pola ou le musée d’art de Hiroshima.

    Intervenants : Atsushi Miura (Université de Tokyo), Christophe Marquet (EFEO), Masaya Koizumi (Université Hitotsubashi), Megumi Jingaoka (Musée national de l'art occidental)

    Crédit photo : Frank Brangwyn, Portrait de Kôjirô Matsukata, 1916, huile sur toile, 73,8 x 84 cm, Tokyo, National Museum of Western Art.

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