Dans les années 50, le Japon met en place une politique de soutien à la diffusion internationale d’un pan de son cinéma. Cette intervention propose de recontextualiser ce phénomène en soulignant la manière dont le Japon a su jouer de son exotisme pour soutenir culturellement son implantation sur la scène internationale, reprenant des mécanismes déjà usités pendant l’ère Meiji.