En 1947 est créée la première brigade de répression des faux artistiques. À sa tête, un amateur d’art profane, auto-désigné « Le Sherlock Holmes de la peinture », y déploie une méthodologie nouvelle. En 1955, il organise au Grand Palais la première grande exposition française de faux, qui met l’accent sur la comparaison pédagogique avec de vraies œuvres, ainsi que l’examen scientifique des artefacts. Les archives autour cet événement inédit, notamment la correspondance entre le policier et le musée du Louvre, sont riches d’enseignements sur la vision du faux à cette époque.
Dimanche 8 juin, 14h00
Château de Fontainebleau - cour ovale