Depuis les destructions révolutionnaires et la démolition des Halles de Baltard, les menaces pesant sur des ensembles architecturaux et urbains ont certes encouragé la conscience patrimoniale, mais aussi renouvelé l’intérêt portée à des productions parfois mésestimées. Les débats patrimoniaux que suscitent aujourd’hui bien d’autres édifices (Notre-Dame de Paris, Gare du Nord, Maison du Peuple de Clichy entre autres) invitent à s’interroger sur la manière dont les interactions entre patrimoine et histoire contribuent à rendre intelligible le cadre bâti et le paysage urbain par un public élargi. Carte blanche à l’Association d’Histoire de l’Architecture
Intervenants :
Camille Bidaud (École Nationale Supérieure d’Architecture de Normandie),
Robert Blaizeau (Ville de Rouen),
Judith Kagan (Ministère de la Culture),
Guy Lambert (ENSAPB, Association de l’Histoire de l’Architecture),
Simon Texier (Université de Picardie Jules Verne)
